Vue d'ensemble.
J'ai créé cette vitrine pour replacer un objet : un Katana.
Je me demandais s'il était possible de créer un Katana avec la technique des "Couteaux, cisailles, etc." (cf. tutoriel couteaux, cisailles).
Une fois celui-ci créé, j'ai été tenté de fabriquer le socle, puis ça s'est enchaîné avec la création du meuble asiatique sur lequel placer le socle, et ainsi de suite ...

Vue d'ensemble.
J'ai été amenée, tout naturellement, à changer de boîte et à fabriquer d'autres meubles et objets pour compléter la scène finale.
La boîte choisie est une boîte à bouteilles de vin, qui n'est pas aux dimensions réelles d'une pièce de maison.
Sur les murs latéraux, de la peinture acrylique blanche légèrement diluée.
Sur le mur du fond, du papier peint marron chocolat.
Sur le sol, du papier intissé repeint en peinture acrylique jaune.

La commode laquée.
La commode ne comporte qu'un seul tiroir mobile, les portes et l'autre tiroir étant "faux".
Sur la commode, on retrouve :
* un vase fabriqué en pâte autodurcissante à l'air,
* un katana (en fil d'étain aplati à la pince) sur son socle en Balsa peint en noir brillant,
* un éventail (en papier, la base en bois est découpée dans un vrai éventail asiatique au 1/1),
* un plateau en bois avec deux bols à soupe et des cuillères (pâte autodurcissante à l'air) et des baguettes,
* dans le tiroir entrouvert : un fouet à thé (cure-dents et fil de pêche), et une paire de baguettes.

La console "Pagode".
Sur la console, on retrouve :
* une tête de statue sculptée dans de la pâte autodurcissante à l'air,
* un porte encens et des bâtonnets d'encens taillés dans des allumettes,
* un bonsaï bricolé à partir d'une vieille gratounette à vaisselle, de fils de fer et de peinture marron, le pot est en pâte autodurcissante,
* une boîte de bâtons d'encens de différentes senteurs,
* une théière et ses tasses à thé modelées dans de la pâte autodurcissante à l'air.

Le Katana.
Le Katana sur son socle terminé.  Il est réalisé selon le tutoriel figurant sur ce blog ; avec du fil d'étain raplati à la pince, puis limé au papier de verre.
Le manche est tout simplement la continuité du fil d'étain (mais non aplati), repeint en noir, un minuscule joint de plomberie fait la jonction entre le manche et la lame.
J'ai tressé plusieurs brins de fil à broderie rouge sur le manche.
Le fourreau a été fait en balsa, peint en noir, les extrémités métalliques sont découpées dans un opercule de boîte.

Le boudha.
Le boudha m'a lui aussi donné du mal, puisque je l'ai également sculpté dans de la pâte autodurcissante à l'air.
D'ailleurs, lors du sculptage, l'extrémité de l'une de ses oreilles a été cassée et recollée.
Il a été ensuite "piqué" sur deux boutons noirs à l'aide d'un cure-dent.

Les tongs.
Vous pouvez retrouver le tutoriel des tongs dans ce blog.  Elles sont très rapides à réaliser.
Par la suite, j'ajouterai peut-être un kimono sur le mur derrière le paravent, dès que j'aurais acheté un bout de tissus convenable (je n'en avais pas qui faisait "asiatique" dans mon stock de récup').